Nous arrivons à San Agustin pour fêter l’anniversaire de Vincent. Nous profitons de cette journée pour découvrir la ville et passer du temps en famille.
Site archéologique de San Agustin
Le lendemain, nous partons visiter le site archéologique de San Agustin. C’est un site bien mystérieux qui n’a livré que très peu de ses secrets. Il y a beaucoup de statues mais nous ne savons pas que peu de choses sur le peuple qui vivait là et sur le pourquoi de ces statues. Les enfants ont très moyennement apprécié le site. Ils auraient préféré voir des temples comme au Mexique pour pouvoir se projeter davantage.
Salto de los Bordones
Comme l’Equateur est toujours inaccessible, nous prenons notre temps pour aller par la piste au Salto de los Bordones. 2Eme plus grande cascade d’Amérique du Sud. La rando pour s’y approcher n’est vraiment pas évidente. Il faut faire attention à ne pas glisser ni tomber dans le ravin. Les enfants ont géré comme des chefs !
La fameuse piste San Agustin Popayan
Nous savons que cette piste va etre difficile car elle est en mauvais état. Nous partons donc très tôt du Salto pour ne pas avoir à la finir de nuit.
Et bien nous n’avons pas été déçus ! La route se fait plutot bien au début et puis sur 37 kms la route devient une piste de pierres et de trous. Nous avons eu la chance de la faire sous la pluie !
Je ne la referais pas dans le sens inverse pour le plaisir !
Après une dure journée de route, nous nous sommes arrêtés au thermes d’agua hirviendo pour y passer la nuit et se plonger dans les eaux bouillantes. Mon dieu que cela fait du bien !
La Bonanza – Silvia
Nous arrivons le 12 octobre au soir à la Bonanza chez une famille de voyageurs marocains qui a posé ses valises à côté de Silvia, c’est le repère de beaucoup de voyageurs et encore plus maintenant que nous ne pouvons plus passer en Equateur. Certains attendent de passer depuis plus de 15 jours.
Nous apprenons dès le 14 octobre que nous pouvons passer en Equateur.
Vincent et Oscar filent au marché de Silvia du mardi matin et partent à la rencontre des indigènes de la région qui viennent au marché le mardi vendre leur production et acheter de quoi pour leur semaine. Je garde Arthur au camion car il a été malade toute la nuit, virus gastrique, le pauvre.
